Une équipe de chercheurs, de l’universitéde Rome 3, en Italie, a réussi à développer une technique automatique de reconnaissance de caractères permettant de faciliter le traitement des documents archivés.
Basée sur la décomposition des lettres en plusieurs éléments constitutifs, cette technique a été appliquée à la réécriture d’un corpus du Vatican constitué de 18.000 pages.